dimanche 29 mai 2011

Brève (III)

Sergio Flores enfonce le clou à Séville. 
Il semble être le novillero en forme du moment... Madrid, Séville... Captieux?...

lundi 23 mai 2011

Brève (II)

Grosse impression de Sergio Flores sur le public de Las Ventas (Madrid) ce soir. Pétition majoritaire et bronca à la présidence pour avoir refusé l'oreille.

Fernando Adrian à Barcelone, Sergio Flores à Madrid, 2 novilleros en forme à l'approche de la novillada capsylvaine.

dimanche 22 mai 2011

Infos pratiques


Tarifs 2011 : Ils sont inchangés depuis l’édition 2008 (Il fallait le préciser !)

Couvertes : Barrera : 45 €
                  Contra-barrera : 41 €
                  File1 : 37 €
                  File2 : 34 €
                  File3 : 31 €
                  File4 : 29 €
                  File5 : 27 €

Non couvertes Ouest (soleil dans le dos) :   Barrera : 40 €
                                                                Contra-barrera : 36 €
                                                                File1 : 32 €
                                                                File2 : 30 €
                                                                File3 : 26 €
                                                                File4 : 21 €

Non Couvertes Est (soleil de face) :  Barrera : 38 €
                                                      Contra-barrera : 34 €
                                                      File1 : 30 €
                                                      File2 : 28 €
                                                      File3 : 24 €
                                                      File4 : 19 €

Réservation des places (1 € par place) au 05.56.65.88.95 de 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 18 h ; le samedi de 9 h à 12 h.
Vente et retrait des places aux guichets des arènes, le dimanche à partir de 10 h ; téléphone du guichet : 06.37.18.48.02.

Forfait journée à partir de 33 € (nous contacter). 15% de remise sur les réservations en Barrera et Contra-barrera non couvertes pour les groupes à partir de 10 personnes.

La tienta

Dimanche matin, après l’arrivée aux arènes de l’Encierro de Chiquitos, se déroulera la tienta (voir plus bas ce qu’est une tienta).
 
3 jeunes becerristes (premier stade de la formation pour devenir torero), s’entraineront devant vous face à des vaches de la ganaderia Ortiz de Urbina. Ils seront les représentants de 3 écoles taurines différentes.
 








Kike, originaire de Linxe (40), est inscrit au Centre de Tauromachie de Nîmes.










Diego de Llanos, représentera l’école taurine d’Arganda del Rey (Fondation El Juli).







Louis Husson, quant à lui, est élève de Richard Milian au sein d'Adour Aficion.

Ce spectacle est gratuit.

Quelques images de la tienta 2010 :

Qu'est-ce qu'une tienta? (aussi appelée "tentadero") :

C'est l'épreuve de sélection des vaches destinées à devenir reproductrices dans un élevage de bétail brave. Durant cette épreuve, on juge d'abord, au moyen d'un aiguillon, de la bravoure ; c'est à dire de la volonté de l'animal à vouloir accepter une confrontation de laquelle résulte une douleur physique. La vache mise en place à des distances croissantes doit répondre aux provocations du cavalier. On note le nombre, la qualité des charges (hésitantes, au pas, en accélérant, franches...) et le comportement de la bête (si elle pousse ou donne plutôt des coups de tête, si elle reste ou si elle sort seule,...).
Vient ensuite le moment de la muleta dans lequel on jugera de la qualité et de la franchise des embestidas (des charges), et ce, sur les deux cornes, c'est ce qu'on appelle la noblesse.
Cette épreuve s'effectue généralement en privé.
C'est pour les organisateurs capsylvains un moyen d'aller vers un public non initié, un premier contact qui peut se faire en famille. Il n'y a pas de mise à mort.


Animation du Campo de Feria (III)

Campo de Feria, campo con chicos.

Les enfants ne seront pas oubliés en ce dimanche 5 juin ; ce sont d’ailleurs eux qui ouvriront la journée.

Vêtus de rouge et blanc, un journal roulé à la main, ils attendront qu’au bout du chemin de l’aouzillère l’explosion du chupinazo donne, à 10 h 45 pétante, le départ de leur encierro.

Dès lors, ils parcourront les 400 m qui les séparent de la plazita à un train d’enfer encadrant les toros de la Ganaderia Guy Bimes dont la noblesse n’est plus à prouver mais dont la vivacité dépendra de l’heure à laquelle se seront couchés les moteurs bipèdes qui les font avancer.

Dans l’après-midi, un espace aménagé par Denis et regroupant des structures gonflables leur sera ouvert.


Campo de Feria, campo gastro… nomique.

Un lendemain de fête, quoi de meilleur que quelques huîtres pour se remettre en jambes ?
Rien, je crois. Et c’est une très bonne idée que de proposer ce « Casse-croûte du Bassin ».
À 10 h donc, sur l’airial, ce sera huîtres, saucisses et vin blanc.

Pour déjeuner, le traiteur Benoit Lacampagne, propose un menu à 17€ :

Délice de foie gras chaud aux pommes
ou Duo de foie gras et son pain d’épice
ou galantine de volaille et ses crudités.

Tournedos de bœuf et ses échalotes fondues
ou Canette désossée farcie aux cèpes

Petits légumes

Framboisier et son coulis
ou Forêt Noire
ou Charlotte à la poire et son coulis

Café

Vins rouge et rosé en carafe.

En soirée, après la novillada, avant de reprendre la route ou pour repousser le moment de la clôture, synonyme de déprime après 3 jours de moments intensément vécus vous pourrez également d’un petit repas :

Assiettes de tapas
Paëlla aux fruits de mer
Salade de fruits frais
Café
Vins rouge et rosé en carafe
(12€)

mercredi 18 mai 2011

Animation du Campo de Feria (II)

Campo de Feria, campo con música.

Pas de Feria sans musique, cela parait une évidence.

Le samedi aura vu et entendu, pour les tournois de rugby et l’animation de la bodega, la banda des voisins grignolais : Les Amuse-Gueules.

Et ce dimanche, il y aura 2 autres groupes musicaux présents sur l’airial :


En premier lieu, Les Vide-Greniers de Lavazan, des voisins également. Ce sera leur première prestation pour Rugby y Toros. Cette fanfare-banda est d’abord une aventure entre copains venant d’horizons musicaux très différents. Et le résultat est à leur image : éclectique et un brin déjanté.

Leur devise : « Y a eu pire »... pas de prise de tête donc, ni de chevilles qui enflent ; c'est l'état d'esprit nécessaire pour partir en fête...

Ils animeront le site des arènes toute la journée, ils sont jeunes et plein de fougue et cela leur sera utile.





En début d’après-midi, arrivera l’harmonie Al Violin de Samadet. Elle assurera la partie musicale de la novillada et les aficionados connaissent la qualité de cette formation dirigée par Danièle.

Elle jouera ce jour-là son troisième paseo à Captieux ; mais avant cela (vers 15 h 30), le public présent aura pu profiter d’un concert donné sous les chênes et les érables de l’airial.

Brève

Lundi (le 16 mai), Fernando Adrian, est sorti en triomphe des arènes de Barcelone après avoir coupé 2 oreilles.

lundi 16 mai 2011

Animations du Campo de Feria (I)

Campo de Feria, campo d'expo...

C’est parfois long, de patienter autour d’une arène en attendant l’heure du paseo. On peut certes s’attarder à l’apéro, faire trainer le repas, le tout bien sûr entouré des amis ou de la famille qui accompagnent mais bon…
Sur l’airial de l’Aouzillère, les organisateurs ont pensé à vous !

Toute la journée vous aurez accès à la tente expo dans laquelle exposent cette année trois artistes :


Valérie Girard, photographe amateur, revient cette année, très satisfaite du contact qu’elle eut, l'an passé avec le public. Valérie est lot et garonnaise et vit à Pindères, un petit village des Landes de Gascogne situé entre Casteljaloux et Houeillès.
Elle présentera cette année des tirages photo sur bois avant de s’envoler pour Santander où elle exposera pour la Feria dans un hôtel prestigieux.




On ne présente plus Isabelle Husson, artiste peintre reconnue à juste titre. Elle aussi revient à Captieux mais elle aura ce jour-là une double casquette puisqu’elle est aussi la maman de Louis, élève (et qui plus est, bon élève) de Richard Milian à Adour Aficion qui participera à la tienta gratuite du dimanche matin.
« Je fais des expos de peinture taurine depuis 10 ans, en France bien sûr mais aussi en Espagne. Dans mon travail, je tente d’exprimer la puissante énergie qui anime le torero, la tension palpable qui l’habite, sa concentration, et son art. J’essaie aussi de rendre hommage à la noblesse et à la puissance du toro. J’aimerais que le spectateur de mes toiles puisse retrouver cette émotion indicible qu’il a déjà ressentie en se rendant aux arènes, qu’il y ait une complicité entre ses souvenirs personnels d’aficionado et mon tableau ou mon dessin… »


La photo, la peinture, il ne manque que la troisième dimension et cette dimension-là, c’est Zaza, artiste sculpteur au féminin, qui nous en fera la présentation. Zaza n’est autre que la créatrice du petit festayre de l’affiche de la Feria de Dax 2010.

Elle trouve son inspiration dans la Culture Sud : la tauromachie, le rugby et la mer. Cette année, elle a plus particulièrement travaillé sur les toros et elle nous présentera sa camade.


L’appel n’est pas terminé sous la tente expo car il y aura cette année une place pour l’écriture avec le duo Antonio Arevalo (journaliste-écrivain) / Bruno Lasnier (photographe).

Ils présenteront et dédicaceront leur ouvrage « La veillée d’armes » (éditions Culture Suds).

Bruno Lasnier a eu l’autorisation d’approcher les toreros avant qu’ils n’arrivent dans l’arène. Pendant plus de trois saisons tauromachiques il a photographié ces moments d’intimité qui précèdent la corrida où ils livrent une vérité authentique et rare. Antonio Arevalo a rencontré des toreros photographiés par Bruno Lasnier parmi les plus grands en activité comme El Juli, Enrique Ponce ou nos compatriotes Sébastien Castella, Juan Bautista et Medhi Savalli. Des vétérans de la trempe de El Fundi, Juan José Padilla ou Antonio Ferrera mais aussi des plus jeunes comme Diego Urdiales, Rafaellilo, Sergio Aguilar et Luis Bolivar ont parlé. Ce sont leurs témoignages inédits et leurs paroles qui accompagnent les images. Ils confient avec sincérité leurs doutes et leurs peurs mais aussi leurs rêves, ils parlent de la première fois, des relations avec leur entourage, de leurs sentiments religieux….

Ce livre concrétise un travail d’investigation profond et important qui apporte un regard nouveau et contemporain sur les acteurs de la corrida.

Pour contacter la maison d’édition (et commander) c’est ici.

samedi 14 mai 2011

Les novilleros

Voici les trois garçons qui combattront les novillos de la Ganaderia de Urcola :

Mathieu GUILLON, le Montois.

Ce jeune garçon, né le 05/03/1991 à Mont-de-Marsan s’entraine chez Richard Milian qui est son apoderado.

Auparavant, il avait débuté en 2003, à l’école de tauromachie du Grand Sud-Ouest du matador Gilles Marsal et avait participé à une vingtaine de capéas et tientas, estoquant son premier becerro en public en juillet 2005 à Soupera (Vicia-España).

En 2006, il rejoint l’école Adour Aficion de Richard MILIAN et torée une quarantaine de novilladas sans picadors jusqu’à ses débuts en piquée, le 19/04/2009 à Garlin où il obtient une oreille. Cette saison-là, il torée 5 novilladas obtenant des succès importants à Millas (2 oreilles) et Aire-sur-Adour (2 oreilles).

En 2010, il participe à 11 spectacles coupant 15 oreilles, notamment à Vauvert, en juin, devant les Palha (2 oreilles), à Mont-de-Marsan ,en juillet (3 oreilles), à Hagetmau, en août (2 oreilles des Miura) et à Villeneuve-de-Marsan (3 oreilles).
C’est aussi un banderillero spectaculaire.

Sergio FLORES, la révélation mexicaine.

Né à Tlaxcala (Mexico), le 17/04/1991, il est actuellement le novillero le plus en vue dans son pays. Sur la lancée de son succès à Mugron le lundi de Pâques (3 oreilles), il se présentera à Séville, le 23 mai et à Madrid, le 29 mai .

Après avoir débuté sans picador à Tlaxcala le 27/02/2007 et toréé cette année-là 7 spectacles au Mexique, il est venu se présenter en France à Tartas le 19/04/2008 ; par la suite, il a fait une brillante temporada avec 16 spectacles en Europe (19 oreilles et 3 queues) et se fit très rapidement remarquer par son toreo profond et de qualité.


Le 14/06/09, il se présenta avec picadors à la Monumental de Mexico, coupant 2 oreilles et gagnant ainsi, la même saison, deux autres contrats dans ces mêmes arènes. Le 9 août, ce fut à Millas qu'il fit sa présentation en novillada piquée en Europe obtenant encore 2 oreilles. Le 20/09/09, il coupa 2 oreilles à Guadalajara (Mexico) l’autre grande arène de son pays.

En 2010, il a participé à 17 novilladas obtenant 37 oreilles.

Fernando ADRIAN, élève d'EL JULI.

Fernando ADRIAN, est né dans la localité madrilène de Torres de Alameda, le 20/01/1992. C’est un élève d’EL JULI, inscrit depuis 2006 à l’école d’ARGANDA DEL REY, au sein de la Fondation EL JULI.

Il a débuté en public le 17/05/2008 à Paracuellos de Jarama et a depuis été triomphateur des 1er et 3ème Trophées Ecole d’Arganda del Rey (en 2008 et 2010).

Au cours des temporadas 2008, 2009 et 2010, il a participé à plus d’une soixantaine de novilladas sans picadors.

Le public français l’avait découvert en mars 2010 à Magescq (4 oreilles). Après de nombreux succès dans le sud-ouest, il a été déclaré triomphateur des novilleros sans picadors par l’ACOCNSO (Association des Comités Organisateurs de Corridas et Novilladas du Sud-ouest) en 2010.

Il a débuté en novillada piquée ce début de temporada, le 11/03 à Olivenza (Espagne) et s’est présenté le 18 mars en France à Samadet, coupant une oreille.

En mai, il se présentera à Séville, Barcelone et Nîmes.

La Ganaderia de Urcola

                                            Propriétaire : Don Victorino MARTIN ANDRES
Représentant : Victorino Martín García
Finca: "Las Tiesas de Santa María"
Portezuelo (Cáceres) España
Association : UCTL
Devisa : Bleu Bilbao y blanc
Marque oreille: Orejisana en ambas orejas
Sigle: UOB
Origine : D. Félix Urcola y Vega Villar (séparément)
Mayoral : Félix
Pas encore d’ancienneté à Madrid

Un peu d’histoire :

Sans refaire l’intégralité du livre des origines, il nous a paru intéressant de retracer un peu l’histoire des deux courants de sang qui sortiront en piste le dimanche 5 juin :

Paco Galache élevait séparément deux encastes : les Urcola (encaste Vistahermosa) et les Encinas (encaste Vega-Villar).

L’encaste Vega-Villar (patas blancas) fut créé par Jose Vega en 1910, en croisant des vaches de sang Veragua avec un étalon de sang Santa Coloma. Le troupeau fut ensuite cédé aux frères Villar (Fransisco et Victor) qui, après s’être séparés vendirent le bétail.
Francisco vendit à la famille Cobaleda et Victor à Jose Encinas, lequel, en 1939, céda le bétail à la famille Galache.

En ce qui concerne l’encaste Urcola, l’histoire commence plus tôt, dans la première moitié du XIX° siècle, chez le conte de Vistahermosa (encaste du même nom). Les bêtes de cette ganaderia furent vendues en 5 lots, faute d’héritier.
La partie la plus importante fut achetée, en 1823, par Juan Dominguez Ortiz « El Barbero de Utrera », changea quelques fois de mains jusqu’à l’acquisition, en 1904, par Felix Urcola puis par Francisco Molina en 1918 qui fixa le type de l’encaste. En 1930, la famille Galache acquiert le bétail et le conduit dans le haut de l’escalafon ganadero.

Que ce soit pour l’un ou l’autre des deux courants de sang, il n’y a pas eu depuis un siècle de croisement et ce sont donc deux souches très pures.

La Ganaderia de Urcola, dont-il est question aujourd’hui, fut créée à partir de l’achat, en 2005, par Victorino Martin, du bétail de Francisco Galache dans le but de rafraichir, par la partie Encinas, l’encaste Vega-Villar déjà présent chez la famille Martin sous le fer de Monteviejo.

Depuis, Victorino Martin a fait un gros travail de sélection tant sur le courant de sang Urcola que sur celui de Vega-Villar (branche Encinas).
Il commence également à tester un rafraichissement génétique de son troupeau de Monteviejo issu de bétail de Barcial. Mais ceci représente un travail de longue halène dont les résultats ne seront connus que dans quelques années et ne nous concerne pas aujourd’hui car les novillos qui seront lidiés à Captieux sont, eux, issus directement des lignées élevées par Francisco Galache, et sélectionnées depuis par Victorino.

En 2011, Rugby y Toros, renouvelle donc le concept mis en place, en 2003, 2004 et 2005, lorsque l’association avait présenté deux encastes différents provenant du même éleveur, remettant, pour l’occasion l’encaste Coquilla (de Javier Sanchez Arjona) au goût du jour.

Ce seront donc 3 novillos de Urcola et 3 novillos de Encinas (purs) qui fouleront le sable de Jean Sango.


On pourra dire ce qu’on voudra, les organisateurs capsylvains n’ont pas attendu le discours ambiant à propos des encastes marginaux pour tenter l’expérience.

En 2010, les novillos de la branche Vega Villar par Encinas ont remporté le prix de la meilleure novillada de la Feria del Villar (Laguna de Duero, 10 septembre).

Sources :                         http://www.toroslidia.com/
                                       http://www.cetnotorolidia.es/
                                       http://don.miguel.pagesperso-orange.fr/

dimanche 1 mai 2011

Les tournois à 7

Samedi, toute la journée, au stade municipal et en soirée à la bodega des arènes.

Changement de formule cette année dans le déroulement du tournoi des seniors (tournoi de l'après midi) qui, pour la plupart, ont rangé les crampons depuis un bon mois : le tournoi devient à toucher (flags).

Les 2 tournois se dérouleront au stade municipal de Captieux. Les règles seront les mêmes, les terrains (1/2 terrain) également, seule la durée des mi-temps change (matin : 8 min - a.m : 10 min).


À partir de 9 h 30, 12 équipes se disputeront le titre et tenteront de détrôner les Rugueux Bipèdes, vainqueurs du tournoi 2010.

Soulignons la présence fidèle des équipes suivantes : les Vils Navets (avec Jean-Yves en figure de proue), Torovalie (Dule), le XV de la Ruse, les Gros Finauds Gras (retour annoncé sur le pré du Renard Argenté), les Escamats, les Haka Cools de Martignas, les Anciens Écureuils et les Bouffes en Tranche (emmenés par Eric qui tenteront de remporter pour la seconde fois consécutive le challenge du fair-play) et accueillons pour cette édition 2011 : les Moines Tranquilles (Cenon) et l'attraction de la matinée, les Gazelles (équipe féminine de Saint-Aubin).

A l’issue de ce tournoi, un apéritif sera offert aux joueurs à la salle des sociétés et un repas, ouvert à tous  (13 € le repas), sera servi sous le hall du basket dès 13 heures.

14 h 00 : Reprise des matchs de séniors pour un tournoi à 7 à toucher.

Certaines équipes, encore en compétition, réservent leur réponse mais seront d’ores et déjà présents : Lou Bérets, B'7, Langon, Captieux, Gradignan, Chabanais...

La banda grignolaise «Les Amuse Gueules » animera pour notre plus grand plaisir toute cette journée de rugby.

A côté des tournois :
  • Toute la journée, "Faites vous refaire le portrait"… par un professionnel de la caricature.
  • A partir de 14 h 30, l’initiation au rugby est reconduite. Elle s’adresse aux enfants (filles et garçons) ayant fêté leur 5ème anniversaire.
  • En après-midi, en parallèle avec le tournoi, sous le hall du basket, un débat sera animé par des journalistes locaux et des rugbymen sur le thème de l'évolution du rugby.

Toute victoire méritant une récompense, la remise des trophées « Rugby y Toros » se déroulera à 19 heures sous le chapiteau de la bodega aux arènes.

A partir de 20h30 sera retransmise sur 2 grands écrans (1 dans la bodega et 1 sous le chapiteau restauration) la finale du championnat de France du Top 14.

Alors la nuit vous appartiendra…

1993 – 2017, 24 ans de RUGBY y TOROS ! 1999 – 2017 18 ans de Novillada avec picadors

Voilà près de 25ans qu’une équipe de dynamiques bénévoles sous la houlette du président André DURANTAU (Président fondateur auquel a succédé, 4 années durant, Stéphane PELERIN relayé aujourd'hui par Stéphane BRETHES), organise au cœur de l’Aquitaine une fête conviviale autour de deux passions majeures du Sud-Ouest : le monde du rugby et celui de la tauromachie s’y rencontrent autour de leurs valeurs communes, pour ce qui est devenu le rendez-vous traditionnel du 1er week-end de juin (le second si Pentecôte tombe le premier).



Ce pari audacieux lancé en 1993 et réussi dès la première année, la création d’un concept par l’association de deux thématiques complémentaires, fera école par la suite dans d’autres villes ou ferias.

Au fil des années, le premier tournoi de rugby à caractère local, s’est transformé en rencontre incontournable pour le rugby aquitain. La journée du dimanche, s’est imposée dans le calendrier des dates taurines du sud-ouest comme un rendez-vous de qualité : la ville de Captieux a été récompensée en 2000 en recevant le prix « Traje de Oro » décerné par un jury de medias à la meilleure plaza de novilladas du Sud-ouest.



A Captieux, la tradition taurine remonte à 1963 et débuta par des novilladas sans picadors dont la 2ème , en 1964, permit à Paquirri et son frère Riverita, arrivés de Cadix dans une Traction 7, de faire leur présentation en France. En 1966 on déplora l’effondrement des arènes après un « derby » avec la localité voisine de Grignols au cours d’un inter-villes fort « disputé » et c’est en 1990 que furent construites les nouvelles arènes Jean Sango (les seules arènes fixes de Gironde).



En 1993, l’enthousiaste et persévérant André DURANTAU, aidé par son « pack » de bénévoles et Michel BERTRAND, relançait le mouvement à l’occasion du soixantième anniversaire du S.C.C. (Sporting Club de rugby de Captieux) par l’organisation d’un festival avec picadors. Le Comité des fêtes et le Club Taurin Ricard s’unirent à cette première équipe l’année suivante pour organiser cinq autres festivals au cours desquels défilèrent des grands noms de la tauromachie : Tomas CAMPUZANO, RUIZ MIGUEL, Victor MENDES, CHAMACO, Juan MORA, Richard MILIAN, DENIS LORE, Damaso GONZALEZ, etc. Puis c’est en 1999 que fut organisée la première novillada avec picadors de l’histoire des arènes Jean Sango.



Depuis mars 2001, les aficionados au ballon ovale et à la corrida se retrouvent en hiver lors d’une soirée de gala « La Nuit RUGBY y TOROS » au cours de laquelle ont été reçus des invités prestigieux : Pierre ALBALADEJO, Bernard LAPORTE, Jean-Pierre RIVES ainsi que les maestros PEDRES et JOSELITO, l’éleveur VICTORINO MARTIN pour ne citer qu’eux.



Aujourd’hui, ce qui était au départ un jour de fête est devenu une féria se déroulant du vendredi au dimanche : les tournois de rugby à VII, les expositions d’artistes, les groupes musicaux variés, les animations pour les enfants, un campo de feria, des bodegas et des repas gascons, préparent l’évènement majeur du dimanche avec en apéritif une tienta matinale publique et gratuite (une innovation apparue en 2001) : la novillada avec picadors.